Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (102)

Véronique de retour de Bordeaux où elle est sortie de l’hôtel avec toute la misère du monde sur les épaules après avoir récupéré, nous raconte l’aventure qu’elle a vécue.
Conformément à nos habitudes elle a reçu son enveloppe avec les 2 000 € prévus mais à la fin de la nuit croyant qu’elle avait eu affaire à un surhomme qui l’avait baisée toute la nuit elle nous explique que ce sont des quintuplés qui se sont occupés de son corps.
Christian le chef des frères lui remet des enveloppes numérotées de 2 à 6.
Elle continue son histoire et nous sommes tous suspendus à ses lèvres.

• Je vous ai donné l’enveloppe 1 quand vous êtes arrivé !
Ouvrez-les par ordre de 2 à 5 toutes ont deux mille euros à l’intérieur.
Il vous reste celle qui est avec le numéro 6.
• Non, pas de sixième frère, je suis sûr que mon corps serait dans l’impossibilité de le supporter.
• Ouvrez !

Je l’ai ouverte comme les autres, à l’intérieur je compte cinq mille euros.

• Cette somme est notre défraiement pour le bon tour que nous vous avons joué et la patience que vous avez montrée pour tous nous satisfaire.
Quand l’organisateur nous a dit qu’il avait la possibilité de faire venir des filles pour égailler notre soirée, l’un des cinq dont je cacherais le nom a parié que ce que nous avons fait avec vous serait impossible.
Grâce à nous vous repartez avec une drôle d’expérience pour une jeune et jolie femme et il va maintenant nous payer le bon restaurant qu’il a perdu, si vous le souhaitez nous vous invitons.
• L’un de vous veut-il me baiser, d’un seul coup ma fatigue a disparu ?
• Je vois que vous savez jouer le jeu et que vous avez de l’humour.
• Sûrement et même si je vous aime beaucoup mais je vais rejoindre mes copines.

Un grand éclat de rire éclate autour de la table, ils m’ont rhabillé et Christian m’a passé mes enveloppes que j’avais laissées sur la table.


Ils sont tous venus, m’embrasser tendrement.
Christian m’a reconduit au rez-de-chaussée avec l’ascenseur, vous allez me prendre pour une folle, au moment de le quitter je lui ai proposé de renouveler l’expérience mais avec les cinq à la fois.

• Bravo Véronique, voyez mes demoiselles, votre amie à tous compris pour pouvoir se payer une villa avec piscine couverte en région parisienne sans compter l’institut où la plupart d’entre vous travaillent ou vont travailler.
• Merci Valérie, tu as raison et pour finir mon récit, c’est là que je vous ai retrouvé et que je me retrouve ici sans savoir comment je suis rentré.
Regardez, je n’ai toujours pas lâché les enveloppes !

Elle les vide une à une et place l’argent sur la table.
Quinze mille euros j’ai peur que tout cet argent ne déclenche des jalousies auprès de ceux qui ont touché que la somme exacte prévue dans leur contrat.
Une salve d’applaudissements ponctue la fin du récit de Véronique.
Que mes amis sont des gens bien, aucun risque de jalousie, juste du respect.
Je me lève.

• L’un où l’une de vous ont-ils des anecdotes à nous raconter sur la soirée qu’ils ont passée surtout pour ceux qui ont rejoint l’organisation pour la première fois ?
• Après ce que nous à raconter Véronique nous avons passé une gentille soirée entre amis agrémentés d’une somme rondelette pour nos vieux jours.

Applaudissement de tous.
Virginie ajoute.

• Merci Jacky, l’organisation sera vous appelez régulièrement et continuera à vous récompenser suivant les mérites et les valeurs que vous représentez.

De nouveau des applaudissements.

• Passons à table, j’ai faim.

Alain vient d’entrer avec Odile, Lison et Guy.
Et c’est reparti pour les embrassades.
Je m’approche du bord de la terrasse, sous les parasols de Nausicana une main s’agite, je lui réponds Katia est attablée avec une jeune femme blonde à ce que j’en voie à cette distance.


Nous passons à table, Alain une fois de plus s’occupe du barbecue, au menu grillade qu’il avait acheté hier matin et salade de tomates.
L’après-midi, nous descendons à la plage.
Nous venons de nous installer quand Katia nous rejoint accompagnée de son amie.

• Ophélie, mon amie !

Mes yeux ont bien vu, c’est une jolie blonde, très plantureuse et qui fait largement plus que ses dix-huit ans que j’ai devant moi.
Elle s’installe, comme nous elle se met topless.
La plupart d’entre nous partent nager.
Baiser c’est bien, mais se reposer fait partie des vacances.
Katia est restée sur sa serviette et évite de se joindre à nous.
Je me mouille et je la retrouve rapidement imités par Ophélie qui s’allonge à côté de moi.

• Christine, que fais-tu ce soir.
• Je pensais aller me coucher de bonne heure, la soirée d’hier m’a épuisé.
• Et demain soir ?
• Rien de prévue. Pourquoi ?
• Ophélie est seule chez elle et nous voudrions t’inviter à venir dîner.
• Aucun problème à quelle heure ?
• Je passerai te chercher vers dix neuf heures.
• J’habite dans une villa sur la corniche au-dessus du marché couvert.

Ophélie m’embrasse, aux coins des lèvres, les deux filles s’habillent et repartent aussi virevoltante que quand-elles sont arrivées.
La soirée est très calme nos trois filles se retirent rapidement accompagnant Véronique qui souhaite retrouver ses draps.
Alain et Odile orphelins de Louis et Jacqueline suivent Guy et Lison.
Les deux couples sont accompagnés d’Océane et Georges.
Je m’inquiète pour la table !
Chacun des autres retrouve leur chambre suivant leurs affinités.
Je me retrouve enfin seule avec Virginie.

• Comment analyses-tu le voyage d’hier ?
• Positive.
• Tu as raison, l’organisation pourra compter sur les nouveaux et nouvelles.
• L’avenir nous le dira, j’ai très fréquemment vu des personnes tout feu tous flammes les premiers contrats et abandonnant car les contraintes pour les escortes sont toujours un peu difficiles au quotidien quand la nouveauté s’estompe.

Christine, je vais être obligé de partir mercredi prochain, des obligations m’appellent à Paris.
Tu me rejoindras le vendredi !
Si tu es d’accord, je rentrerai avec toi, j’ai moi aussi des affaires à régler avant de recevoir Katia.
Lison et Guy ont l’habitude de fermer la villa, nous l’annoncerons demain matin à tous nos amis.

Virginie me prend dans ses bras et après un long baisé, dodo, pas de tour des chambres aujourd’hui.
Vers neuf heures l’odeur du café envahit la chambre, je sais que Virginie a besoin de plus d’heure pour être en forme, je me lève discrètement et après une douche, je descends.
Sur la table le café fume, je le fini quand mon portable sonne dans mon sac posé sur le meuble.

• Oui.
• Mademoiselle Christine ?
• Arrête Odile je t’ai reconnu.
• Bien jouée, peux-tu venir nous retrouver chez Lison ?
• J’arrive, juste le temps de récupérer mon maillot.

Je le récupère après un peu de temps de recherche et rejoint leur maison par la villa de Jacky qui sort dans sa cour par un fait du hasard.

• Christine sais-tu où est passée ma table de cuisine ?
• Oui elle est chez Lison ta voisine.
• Pourquoi ?

Difficile de dire à Jacky la vérité sur la scène surprise entre Lison et Adonis sans entrée dans l’intimité d’adultes qui pourrait refuser que je clame à qui veut l’entendre qu’ils baisent sur la table de cuisine du voisin.

• Quand Anne m’a prévenu qu’Adonis était mal fichu et qu’il était resté dans sa chambre je suis venu le voir pour prendre de ses nouvelles, en passant devant la cuisine la table m’a rappelé tout ce que j’avais enduré à cause d’elle.
En redescendant avec lui de sa chambre son malaise s’étant estompé, cette maudite table pour chacun d’entre nous avait l’air de me narguer sur ses quatre pieds.
Je lui ai demandé de la sortir dans le jardin et de l’éclater pour en faire du petit bois, je voulais t’en offrir une neuve.

Le temps, qu’il trouve ta cogner dans la remise Lison est arrivé, au moment où il allait abattre l’outil dessus, elle l’a arrêtée.
• Je la récupère, j’aime les vieux meubles. Je la mettrais dans la pièce que je m’aménage.
• Pour continuer à l’éclater, il aurait fallu lui expliquer ce qu’elle représente pour nos deux familles alors j’ai laissé Adonis la porter jusque chez eux. Nous irons en acheter une nouvelle que comme je te l’ai dit je vais t’offrir.

L’explication a l’air de le satisfaire et il continue son chemin vers ma villa.
Je passe chez nos amis qui déjeunent tous ensemble.

• Grosse bise à tous.
• Bise ma Christine.
• Vous vouliez me voir.

Guy semble être le chef de la bande.

• Georges et Océane ont une proposition à te faire, Lison a trouvé un emploi en C.D.I dans l’agence immobilière de la ville.
Elle manquera de disponibilité pour entretenir les deux villas, nous voulions t’en parler avant que vous ne repartiez afin de trouver une solution.
C’est sûr la difficulté il y a quelques années pour vous trouver m’inquiète un peu.
• Pas d’inquiétude, nous avons peut-être une solution à te proposer si tu l’acceptes.
• Bye, j’accepte d’avance.

Nous éclatons de rire.

• Océane est sans emploi depuis des mois et aimerait vivre au bord de la mer en permanence.
Elle adore la mer même en hiver. Georges travaillant sur tout ce secteur, ils aimeraient habiter à l’année, prêt de nous et s’occuper de l’entretien de ta villa.
• Et que ferez-vous du pavillon de Saujon.
• Lison le vendra dans son agence.
• Merci mes amis vous m’enlevez une épine du pied.

Une fois de plus, nous tombons dans les bras les uns, les autres.

• Puisque je vous tiens, une dernière chose, Virginie et moi nous devons renter à Paris mercredi prochain, d’ici là nous aurons tous réglé, il faut revoir les contrats d’embauches.

La journée comme certaines autres les jours de vacances s’écoule tranquillement, la chaleur nous oblige à rester à l’ombre de la terrasse, certains profitent de l’escalier pour plonger directement en mer.
Vers dix-huit heures je monte me préparer, Virginie se repose nue sur notre lit.
En me préparant, je la mets au courant de la proposition des couples Lison, Guy ainsi qu’Océane et Georges que j’ai accepté.
Je lui confirme que nous pourrons partir le mercredi par l’avion de seize heures pour Paris.
Les filles aidées de Lison et Océane remettront les villas en ordre et Alain s’occupera du retour de tous ceux qui remonteront en voitures ou en camping-car.
À dix-neuf heures, comme promises, je me suis pomponné et Katia vient me chercher pour que je la conduise auprès d’Ophélie…

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